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CEI REUNION

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7 janvier 2024

Voeux 2024

 

Bonne année 2024 !

Toute l'équipe de CEI REUNION vous souhaite ses meilleurs vœux de santé, de joie et de réussite pour 2024. " Chaque réussite commence avec la volonté d'essayer ". Nous souhaitons donc d'essayer, de commencer et de recommencer s'il le faut et d'atteindre la réussite dans tous vos projets. Bonne année 2024 !

https://cei-reunion.org

 

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3 juillet 2023

Les six raisons principales des difficultés d’insertion des jeunes majeurs sortant de l'ASE

En 2023, plus de 35 000 jeunes majeurs bénéficient d’une mesure de la protection de l’enfance.

Crédit photo Mr Korn Flakes - stock.adobe.com

Publié mardi 27 juin par le Conseil d’orientation des politiques de jeunesse (COJ) et le Conseil national de la protection de l’enfance (CNPE), à l'occasion des Assies nationales de la protection de l'enfance qui se déroulent à Nantes les 29 et 30 juin, le rapport « Laissez-nous réaliser nos rêves » détaille les difficultés d’insertion sociale et professionnelle des jeunes majeurs sortant des dispositifs de la protection de l’enfance (ASE et PJJ). Ce document a été réalisé à partir de la compilation d'études et d’auditions des premiers concernés. Et propose 48 préconisations pour améliorer la situation.
  1. Un parcours scolaire chaotique et écourté. 59 % des jeunes confiés à la protection de l’enfance ont déjà redoublé, et ce avant l’entrée au collège pour 39 % d’entre eux. Ils sont souvent poussés vers des études courtes, y compris s’ils ne le souhaitent pas ou avec de bons résultats : seuls 13 % préparent un bac général contre 51 % pour la population générale. Une orientation provoquée par un besoin d’indépendance financière rapide.
  2. Un contexte financier problématique. Généralement privés de soutien familial, les anciens bénéficiaires de l’ASE et de la PJJ sont dans une situation de pauvreté monétaire.
  3. Des difficultés de logement. A la sortie de l’ASE, seul un tiers des jeunes majeurs accède à un logement (très majoritairement dans le parc privé). La plupart sont hébergés chez un proche (41 %), ou dans des institutions, résidences habitat jeunes, hôtels ou résidences sociales (25 %). Certains connaissent des épisodes de vie à la rue. Parmi les sans-abri de moins de 25 ans, 32 % sont passés par l’ASE.
  4. Des besoins de santé spécifiques. En situation de handicap (15 % des suivis), atteints de troubles de santé (36 % déclarent un état de santé mauvais ou très mauvais) ou de maladies psychiques (81 %), davantage sujets à des conduites à risques, et plus concernés par une parentalité précoce, les anciens de l’ASE pâtissent souvent de maltraitances subies dans leur enfance. Et beaucoup peinent à faire la démarche vers les soins nécessaires.
  5. Un manque d’information concernant leurs droits. Ces profils à multiples vulnérabilités font face à des difficultés concernant les démarches administratives et sociales. Ainsi, une grande majorité d’entre eux ne perçoivent pas la prestation à laquelle ils ont droit.
  6. Des disparités de traitement sur le territoire. Les améliorations apportées par la loi du 7 février 2022 – qui prévoit notamment la prise en charge obligatoire des majeurs âgés de moins de 21 ans ne bénéficiant pas de ressources ou d’un soutien familial suffisants lorsqu’ils ont été confiés à l’ASE avant leur majorité, par exemple par le biais du contrat emploi jeune et d’un accompagnement vers l’autonomie – ont certes entraîné une augmentation des jeunes majeurs suivis (+ 30 % entre 2019 et 2020). Mais elles ne sont pas appliquées uniformément dans tous les départements. Suivant les endroits, le taux de prise en charge varie de 5 pour mille à 20 pour mille.

C’est pour remédier à ces difficultés que le COJ et le CPNE ont établi 48 préconisations, guidés par un même cap : créer un droit « spécifique et non limité dans le temps » pour les jeunes sortis de la protection de l’enfance. Ils insistent particulièrement sur quatre points :
« Que l’Etat garantisse effectivement un niveau de ressources minimum aux jeunes sans soutien familial bénéficiant d’une mesure de protection jeune majeur, par le versement systématique et sans condition d’une allocation au moins équivalente au CEJ ; qu’il organise et facilite l’accès aux soins, à la formation et aux études supérieures des jeunes protégés ; que les départements garantissent, avec les associations, la continuité de l’accompagnement des jeunes sortant des dispositifs, jusqu’à l’autonomie, y compris au-delà de 21 ans, quand le projet du jeune le justifie ; qu’ils veillent à ce que les jeunes connaissent leurs droits et puissent les faire valoir, qu’ils leur permettent de développer leurs réseaux de sociabilité et leur ouverture au monde. »

 

Source : ASH - Publié le : 29.06.2023 Dernière Mise à jour : 29.06.2023 Par : Anne Noémie Dorion

1 avril 2023

Jobs d'été 2023 : à quel âge et dans quelles conditions ?

Crédits : igor kell - adobe.stock.com

Baby-sitting, accueil dans un camping, vente de glaces sur les plages, centres aérés, hôtellerie-restauration, tourisme, travaux saisonniers agricoles, commerce... Vous êtes à la recherche d'un job d'été pour financer vos études ou vos vacances ? À quel âge peut-on commencer à travailler ? Quels sont vos droits en tant que salarié ? Quel est le salaire minimum selon votre âge ? Des conditions de travail particulières sont-elles prévues ? Service-Public.fr répond à vos questions.

Un job d'été est un emploi comme un autre, il est donc soumis au droit du travail en ce qui concerne :

  • l'âge à partir duquel on peut travailler : vous pouvez travailler dès 16 ans avec l'autorisation écrite de votre représentant légal (père ou mère, par exemple). Le travail peut toutefois être autorisé à partir de 14 ans, mais des règles particulières doivent alors être respectées. Dans les faits, les employeurs recrutent davantage les jeunes de plus de 18 ans ;
  • le salaire : il est versé chaque mois avec un bulletin de paie. Il est au moins égal au Smic pour les 18 ans et plus, sauf convention collective plus favorable. La rémunération minimale versée aux mineurs ayant moins de 6 mois d'activité professionnelle est de 80 % du Smic pour les moins de 17 ans et de 90 % du Smic pour les jeunes de 17 à 18 ans. Depuis le 1er janvier 2023, le montant du Smic est de 11,27 € bruts de l'heure, soit 1 709,28 € bruts par mois sur la base de 35 heures hebdomadaires ;
  • le contrat de travail : il est forcément à durée déterminée et peut prendre différentes formes (CDD, contrat de travail saisonnier, contrat de travail temporaire...) ;
  • les conditions de travail : vous devez respecter les règles générales du travail. Vous êtes soumis aux mêmes obligations que les autres salariés de l'entreprise (respect du règlement intérieur par exemple) et vous avez accès aux mêmes avantages (cantines, pauses...).
    Toutefois, si vous avez moins de 18 ans, vous bénéficiez de protections particulières :
    • durée maximale de travail : entre 14 et 16 ans, pendant les vacances scolaires, vous ne pouvez pas travailler plus de 35 heures par semaine ni plus de 7 heures par jour ;
    • vous ne pouvez pas travailler la nuit ;
    • vous n'avez pas le droit de faire certains travaux : les mineurs de 14 à moins de 16 ans travaillant pendant leurs vacances scolaires ne peuvent être affectés qu'à des travaux légers qui ne sont pas susceptibles de porter préjudice à leur sécurité, à leur santé ou à leur développement.

 

Publié le 23 mars 2023 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

  À noter : Un site internet dédié aux jobs d'été donne accès à toutes les informations pratiques à connaître (identifier le type de job que vous souhaitez, rédiger un CV et une lettre de motivation, organiser sa recherche...) et à des offres d'emploi. La plateforme 1 jeune, 1 solution propose également des offres d'emplois saisonniers ou des CDD.

22 janvier 2023

Offres de contrat d'apprentissage non pourvues au 16 janvier 2023

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22 janvier 2023

Aide de 6000€ POUR EMBAUCHER UN APPRENTI

 

Jeunes alternants : une aide de 6 000 euros versée aux employeurs en faveur de votre embauche

Une aide exceptionnelle de 6 000 € maximum est accordée aux employeurs qui recrutent des alternants (apprentis et jeunes en contrat de professionnalisation) entre le 1 er janvier et le 31 décembre 2023. Elle vise à faciliter l'entrée dans la vie professionnelle des jeunes particulièrement touchés par les conséquences de la crise sanitaire.

https://www.service-public.fr

 

 

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22 janvier 2023

Les revalorisations de ce début d'année

 

Le Smic revalorisé de 1,81 % au 1er janvier 2023

Au 1 er janvier 2023, le Smic va atteindre 1 709,28 euros bruts par mois, soit 1 353 euros nets pour 35 heures hebdomadaires. L'Insee a confirmé ces chiffres le 15 décembre 2022. Il s'agit d'une hausse de 1,81 % qui ne s'assortira pas d'un coup de pouce du gouvernement, ainsi que l'a annoncé le ministre délégué chargé des Comptes publics.

https://www.service-public.fr

 

Gratification minimale du stagiaire : calcul et montant en 2023

L'employeur peut, sous certaines conditions, verser aux élèves ou aux étudiants en stage en entreprise, une compensation financière appelée gratification minimale. Le montant minimal de la gratification d'un stagiaire est réévalué de 6,9 % au 1 er janvier 2023 et passe à 4,05 € de l'heure au lieu de 3,90 €.

https://www.service-public.fr



10 janvier 2023

Offres d'apprentissage non pourvues au 10 janvier 2023

Cliquez sur le lien pour obtenir toutes les offres en PDF : 

OFFRES_NON_POURVUES_AU_10_JANVIER_2023OFFRES CMA 10JANV23

25 mars 2022

LES METIERS QUI RECRUTENT D'ICI A 2030

Afin d'anticiper les besoins de recrutement et les déséquilibres qui peuvent en résulter, la Direction de l'animation de la recherche, des études et statistiques (Dares) a publié son rapport Les Métiers en 2030.Le rapport Les Métiers en 2030 permet d'estimer les secteurs et les métiers dans lesquels il y aura le plus de postes à pourvoir. Entre 2019 et 2030, 8,4 millions de postes seront à pourvoir, soit 760 000 postes par an.

Durant cette période, 89 % des postes à pourvoir seront des départs en fin de carrière.

Quels sont les 10 métiers ayant le plus de postes à pourvoir d'ici à 2030 ?

Les métiers qui recruteront le plus pour les dix prochaines années sont :

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    • agents d'entretien ;
    • enseignants ;
    • aides à domicile ;
    • conducteurs de véhicule ;
    • aides-soignants ;
    • cadres des services administratifs, comptables et financiers ;
    • cadres commerciaux et technico-commerciaux ;
    • infirmiers, sages femmes ;
    • ouvriers qualifiés de la manutention ;
    • ingénieurs de l'informatique.

 Les métiers appartenant au secteur de la santé auront davantage de postes à pourvoir en raison du vieillissement de la population. Ainsi, plus de 3 millions de personnes seront d'ici à 2030 en perte d'autonomie et auront besoin d'être pris en charge par des professionnels de santé.

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  À noter : Les métiers dans lesquels plus de la moitié des postes à pourvoir sont des créations d'emploi sont des métiers jeunes tels qu'ingénieurs de l'informatique par exemple (115 000 emplois créés sur la période 2019-2030).ant au secteur de la santé auront davantage de postes à pourvoir en raison du vieillissement de la population. Ainsi, plus de 3 millions de personnes seront d'ici à 2030 en perte d'autonomie et auront besoin d'être pris en charge par des professionnels de santé.

 

Les secteurs en repli

La crise sanitaire a impacté des secteurs sur le long terme. C'est le cas de l'hôtellerie-restauration ou des arts et spectacles. Ces deux secteurs, marqués par des pertes de gains et l'émergence du télétravail, ne font plus partie des secteurs créant le plus d'emplois (300 000 emplois créés entre 2009 et 2019 contre 80 000 entre 2019 et 2030).

Les secteurs de l'Administration publique et des Finances sont également moins créateurs d'emploi en raison de l'essor des technologies numériques. Le secteur finance et assurance suit la tendance à la baisse affichée lors de la précédente décennie. Cette baisse du nombre d'emplois créés s'explique par les contraintes liées à la rentabilité qui conduisent à accélérer la transition numérique dans leur structure.

Des déséquilibres potentiels

Bien que 7 millions de jeunes pourraient entrer dans l'emploi entre 2019 et 2030, des déséquilibres entre offre et demande de travail existent pour plusieurs métiers qui garderaient un nombre important de postes non-pourvus. Parmi les quinze métiers aux plus forts déséquilibres potentiels  :

  • agents d'entretien (328 000 postes) ;
  • aides à domicile (224 000 postes) ;
  • conducteurs de véhicules (200 000 postes) ;
  • ouvriers qualifiés de la manutention (157 000 postes) ;
  • cadres commerciaux et techno-commerciaux (144 000 postes).

Ces déséquilibres peuvent aussi résulter d'un manque d'attractivité du poste ou d'une difficulté à trouver le bon profil pour les recruteurs.

 Crédits Image : Infirmière © herraez - stock.adobe.com - Informaticien © pixabay.com/janeb13

Publié le 21 mars 2022 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre) - Source : site www.service-public.fr

24 juillet 2020

Emploi des jeunes : l’exécutif met 6,5 milliards sur la table

tirelire_orginale_pour_adulte_1600xNouvelles aides à l’embauche et à la formation, retour massif des contrats aidés, mobilisation exceptionnelle du plan d’investissement dans les compétences… Le ministère du Travail a détaillé, le 23 juillet, le plan d’aide d’urgence à l’emploi des jeunes, constituant le premier volet du grand plan de relance de l’emploi et de l’économie. Pour financer cette série de mesures destinées aux 16-25 ans, l’exécutif a débloqué une enveloppe de 6,5 milliards pour la séquence 2020-2021. Objectif : éviter aux 750 000 jeunes qui arrivent sur le marché de l’emploi en septembre de se retrouver le bec dans l’eau.

Avis de tempête sur l’emploi des jeunes. Selon les premières estimations du ministère du Travail, les services de Pôle Emploi s’attendent à une recrudescence d’inscriptions chez les 16-25 ans d’ici à la fin de l’année. « On pourrait en compter jusqu’à 250 000 de plus qu’en 2019 et les premières inscriptions de masse sont déjà recensées… », soupire-t-on dans l’entourage d’Elisabeth Borne, la nouvelle ministre du Travail.

Pour faire face à l’urgence, l’exécutif a mis la main à la poche : 6,5 milliards d’euros ont été débloqués pour financer le plan « 1 jeune, 1 solution», qui doit juguler la hausse du chômage chez les jeunes. Pour le ministère, ce plan doit constituer « un effort massif, global, fort et diversifié » en direction des jeunes.

Mesure-phare du plan :

-          une aide de 4 000 € versée aux entreprises qui s’engagent à embaucher un jeune soit en CDI, soit en CDD d’une durée minimale de trois mois.

Autrement dit, quasiment une année d’exemption de cotisations patronales pour l’employeur. L’aide, que le ministère désigne comme une « compensation de cotisations », devait initialement concerner les salaires jusqu’à 1,6 Smic. Elle sera portée à l’équivalent de 2 Smic pour répondre à une requête du Medef et sera valable pour tout contrat de travail signé entre le 1er août et le 1er janvier 2021.

L’aide sera versée trimestriellement aux entreprises par tranches de 1 000 € et représentera un coût global de 3,5 milliards dans l’enveloppe générale du plan.

Selon les prévisions de la rue de Grenelle, 450 000 embauches devraient être signées grâce à cette aide nouvelle. Ce coup de pouce s’ajoute aux aides à l’embauche d’apprentis et de contrats de professionnalisation instaurées en juin sous le ministère de Muriel Pénicaud, à savoir des primes de 5 000 € pour un mineur et de 8 000 € pour un majeur.

Initialement, ce soutien se limitait aux formations de CAP à Bac + 3, mais la commission mixte paritaire chargée de l’examen du troisième projet de loi de finances rectificative vient de faire sauter ce verrou. Désormais, Masters et Masters 2 seront aussi éligibles à ces financements.

Deuxième volet du plan : un coup de pouce massif à la formation de 200 000 jeunes supplémentaires vers les métiers et les filières d’avenir (transition écologique, numérique, soins et santé…). Ces mesures prendront la forme de 100  000 formations financées en 2020 et 2021 au titre du plan d’investissement dans les compétences (PIC) par l’Etat et les régions, ainsi que des abondements supplémentaires au compte personnel de formation (CPF) des jeunes de 16 à 25 ans qui choisiraient une formation aux métiers d’avenir, qu’il appartiendra à la délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle (DGEFP) et aux régions d’identifier. D’ores et déjà, 5 000 formations d’infirmiers et 10 000 d’aides-soignants ont été retenues pour bénéficier de ces abondements supplémentaires. Ces mesures de formation inclueront également 35 000 parcours d’accompagnement pour les jeunes décrocheurs de 16 à 18 ans réalisés par l’AFPA (Association nationale pour la formation professionnelle des adultes), 15 000 formations à la certification « CléA Numérique » et de 20 000 formations aux métiers numériques via les établissements labellisés « grande école du numérique ». Total de la facture : 1,5 milliard.

Toutefois, le détail précis des dépenses n’est pas encore déterminé…  

Septembre dans le viseur

Enfin, le plan prévoit un grand coup de boost en direction des parcours d’insertion personnalisés. 300 000 de ces parcours ont été budgétés à hauteur de 1,5 milliard, mais, là encore, sans informations précises sur le détail des financements.

Au programme, sont ainsi prévus : 60 000 parcours emploi compétences (soit 20 000 de plus que projetés initialement), ces contrats qui remplacent depuis 2018 les emplois aidés dans le secteur associatif ; 35 000 contrats supplémentaires pour le secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE), venant s’ajouter aux 100 000 déjà prévus en 2020-2021 ; 50 000 programmes de Garantie jeunes supplémentaires, renforçant les 100 000 déjà programmés par les missions locales ; 80 000 parcours d’accompagnement adapté vers l’emploi et l’autonomie (Pacea) de plus ; et 140 000 prestations d’accompagnement intensif des jeunes réalisées par Pôle Emploi. Le secteur marchand devrait aussi profiter de ce regain des contrats aidés, puisque la subvention à la rémunération des jeunes (égale à 47 % du salaire) sera maintenue en l’état, mais sur un périmètre d’entreprises plus étendu.

Au ministère, on ne détaille pour l’instant pas le montant des enveloppes dédiées à chaque pôle de dépenses, mais on assure que « les partenaires engagés (missions locales, Pôle Emploi, entreprises de l’ESS…) auront les moyens financiers et humains pour réaliser ces objectifs ». 

[...]

Extrait de l'article de Benjamin d’Alguerre sur ash.tm.fr

Image tirée sur Tirelissimo

21 juillet 2020

Offres en apprentissage non pourvues au 20 juillet 2020

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